12 août 2020
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Le camping du Mazeau, niché dans un écrin de verdure, offre un cadre reposant et propice aux balades : à pied, à vélo, en barque, en canoë, en paddle...
30 juillet 2018
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Est-il possible de remonter le temps ? Oui, je l'affirme car je l'ai vécu cet été. Le 27 juillet 2018, à 20 H, je retrouvais les copains de mon adolescence pour une soirée mémorable, à l'endroit même où nous organisions nos "booms", au tout début des années 1980. A l'époque, les booms des Disco Corsaires faisaient le bonheur de tous les jeunes des environs.
Les réseaux sociaux m'ont permis de rassembler une grande partie de la bande. Pour des raisons professionnelles ou parce qu'ils étaient en vacances à ce moment-là, certains n'ont malheureusement pas pu nous rejoindre. D'autres sont venus avec leurs enfants et même petits-enfants.
Certains se connaissent depuis l'enfance, d'autres depuis l'adolescence. La plupart vivent dans le même département ou les départements limitrophes, mais n'avaient pas eu l'occasion de se revoir. Autant dire que, 38 ans après, l'émotion était au rendez-vous. A chaque voiture qui se garait, c'était la même question qui revenait : "Va-t-on reconnaître ses occupants ?" Les kilos en plus, les cheveux grisonnants, clairsemés ou totalement disparus, ne facilitaient pas toujours la tâche. Mais le sourire, lui, ne trompait pas. Mes copines de lycée, elles, n'ont guère changé. Un vrai bonheur de les revoir après tout ce temps écoulé. Emouvant et amusant aussi de retrouver les ex !
L'apéro s'est prolongé jusqu'à 22 H, il a ensuite laissé la place au repas.
Et bien sûr, pas de boom sans disco ! Jean-Louis, le DJ, que je n'ai pas perdu de vue, puisqu'il est devenu mon beau-frère, a assuré. Quant aux photos, elles ont été prises par ma nièce et son copain Sylvain. Notre soirée s'est achevée à 3 H du matin. Toutes les bonnes choses ont une fin, mais certains en redemandent déjà ! Alors à quand la prochaine boom au Cercle ?
Published by Nadine Groenecke
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dans
Boom
Le Mazeau
Disco Corsaires
5 septembre 2015
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Retour dans le Marais poitevin où, le 29 août dernier, Robert Luquès, réalisateur, est revenu achever le tournage commencé au mois d'avril. Il s'agissait, cette fois, de reconstituer un épisode de mon enfance : la pêche en barque avec mon grand-père. Je n'étais pas là, j'avais regagné la Meuse depuis un mois, mais maman m'a fait parvenir des photos.
Deux embarcations ont été nécessaires : une pour les deux acteurs et une pour le réalisateur et son matériel. Jean-Claude, un enfant du pays, assurait le transport.
Cléophée me représentait petite-fille et un autre Robert jouait le rôle de pépé Fernand. Des "actrices" un peu spéciales... des anguilles, avaient, quant à elles, pris place dans les botes (les engins de pêche).
Ah, les fameuses et délicieuses anguilles du marais ! Ma madeleine de Proust. Il y a quarante ans, la friture d'anguilles figurait au menu familial plusieurs fois par semaine. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas, car l'espèce est en voie d'extinction. Les botes sont relayées aux oubliettes et il faut maintenant se contenter d'anguilles en provenance d'Espagne, achetées au supermarché.
Je réalise avec tristesse que les petits Maraîchins d'aujourd'hui n'auront pas la chance que j'ai eue, jamais ils ne pratiqueront cette pêche très spécifique.
Et voilà, fin de l'aventure ! Enfin, pas tout à fait, reste à découvrir le film sur le petit écran, sans doute l'année prochaine.
Je remercie Robert de m'avoir associée à ce beau projet et de m'avoir fait découvrir les différentes facettes de son métier de réalisateur. Bon nombre de qualités sont indispensables pour l'exercer. Outre les compétences techniques, il nécessite d'être organisé, créatif, patient. Il faut aussi aimer voyager, savoir diriger, bien gérer son temps...
9 août 2015
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En juillet, j'ai retrouvé Robert, le réalisateur de films dont je vous ai déjà parlé, pour la suite du tournage de "La rivière de mes rêves" dans le Marais poitevin. Avant tout, il a fallu repérer un bel endroit avec des arbres têtards.
Les conditions météo n'étaient pas idéales, le temps était très changeant, il y avait du vent, le soleil jouait à cache-cache et une averse nous a contraints à interrompre le tournage quelques instants.
Les vaches se sont montrées très intéressées. Des figurantes toutes trouvées !
Face à moi, des rangées de peupliers et du vert, du vert partout. Ce n'est pas pour rien que l'endroit est surnommé "La Venise verte". Quant aux têtards, certains de leurs troncs sont propices à l'imagination. Discernez-vous le renard qui nous observe du coin de l'oeil, tapi dans celui-ci ?
Le drone est ensuite entré en piste. Le vent n'a pas facilité la tâche du pilote.
Trois heures plus tard, c'était terminé. Robert est reparti vers d'autres horizons, mais il reviendra en août poursuivre son travail. Découvrez ci-dessous le clip vidéo qu'il vient de réaliser pour la chanteuse Zaz.
19 avril 2015
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9 H 30, lundi 13 avril, domicile de mes parents, dans le Marais poitevin
Une camionnette descend le chemin, c'est celle de Robert. Robert est réalisateur et m'a contactée six mois auparavant pour me proposer de participer à un film qui s'appellera "La rivière de mes rêves". C'est après avoir lu un de mes textes, dans lequel je narrais un souvenir d'enfance, qu'il a eu l'idée de m'associer à son projet, ainsi que d'autres personnes ailleurs en France.
D'ordinaire, il réalise des documentaires animaliers. Il parcourt le monde pour filmer loutres, saumons, cobras... Le résultat de son travail est ensuite diffusé sur les chaînes télévisées. Mais, cette fois-ci, il veut mener à bien un projet plus personnel qui lui tient à coeur depuis longtemps.
La journée commence par une longue balade en barque avec mon frère, ancien batelier.
Après un déjeuner typiquement vendéen concocté par maman, nous voilà de nouveau en plein coeur du marais, mais cette fois, sur la berge où Robert a installé son matériel de pro pour enregistrer ma voix. Il me faut, durant quelques minutes, évoquer mes balades en barque avec mon grand-père et me remémorer mes émotions de petite-fille. Pas une mince affaire ! Car je dois parler le plus naturellement possible et improviser. Il me met d'abord en confiance, puis je me lance. Il m'écoute, arrête et reprend l'enregistrement à maintes reprises, m'explique patiemment ce qu'il souhaite entendre et finit par obtenir satisfaction.
Durant l'enregistrement, nous avons eu la chance de voir un écureuil descendre à deux reprises d'un peuplier pour se désaltérer dans la rivière. Robert a déjà réalisé un documentaire sur ce petit animal... sans jamais parvenir à le filmer en train de boire. Il m'explique à quel point son métier requiert de la patience (des heures et des heures de planque) et que cette dernière n'est pas toujours récompensée.
L'étape filmée a été plus simple et plus rapide. Au-dessus de moi, un drone équipé d'une mini caméra, filmait mes allées et venues le long de la rivière. "Le Bombyle" est le plus léger des drones utilisés par Robert (moins de 2 kg). La machine volante se faufilait entre les peupliers et s'approchait de moi en bourdonnant comme un essaim d'abeilles.
18 H, fin du tournage
Dans quelques semaines, Robert reviendra filmer les tapis d'iris en fleurs avec son drone. Un véritable enchantement pour les yeux. Il lui faut aussi trouver une fillette blonde censée me représenter enfant et un homme âgé qui correspondra à mon grand-père.
Si son emploi du temps le lui permet, nous nous reverrons en juillet. Des mois de travail seront sans doute nécessaires avant de voir le résultat sur le petit écran, mais Robert est confiant, il y parviendra.
Pour en savoir plus et si vous aimez la nature, voici deux liens :
https://www.facebook.com/larivieredemesreves
http://www.calune-prod.com/
17 août 2014
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06:38
Me voici de retour de Vendée, après mon bain de famille annuel. Durant mon séjour, j'ai pu admirer le ballet matinal des montgolfières, survolant la maison de mes parents. Une bien belle façon de découvrir le Marais poitevin. Et comme d'habitude, j'ai enfourché le vieux vélo de maman pour sillonner les petits chemins de campagne. Au cours d'une balade, j'ai fait la connaissance des propriétaires actuels de ma maison natale, devenue une jolie chambre d'hôtes, baptisée La Cabane de la Sèvre. Un endroit très accueillant, tenu par un couple fort sympathique (http://www.cabanedelasevre.com/)
J'ai aussi découvert, grâce à un camarade d'enfance devenu historien, que George Simenon, réfugié dans le Marais poitevin durant la deuxième guerre mondiale, avait écrit un roman qui a pour cadre mon village natal. Dans L'inspecteur Cadavre, Le Mazeau est devenu Saint-Aubin-Les-Marais. Les personnages ont été inspirés par des villageois avec qui l'auteur entretenait de bonnes relations : des notables et des employés de la laiterie coopérative. Certains d'entre eux ne sont pas des inconnus pour moi puisqu'ils ont aussi été des collègues de travail de mon père, lui même ouvrier dans cette laiterie une vingtaine d'années plus tard. J'ai donc maintenant très envie de me procurer ce livre.
14 décembre 2013
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17:13
Toujours au fil de l'eau...
Published by Nadine Groenecke
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Marais poitevin
Le Mazeau
Damvix
Coulon
4 décembre 2013
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17:03
Cet été, mon neveu Eliot avait chipé la casquette de son papy pour se protéger du soleil durant une promenade en barque dans le Marais poitevin. Je l'ai trouvé tellement mignon que je l'ai croqué au pastel.
Published by Nadine Groenecke
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Venise verte