26 février 2012
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Published by Nadine Groenecke
20 février 2012
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L'étoile magique est un joli conte pour enfants que les adultes liront aussi avec beaucoup de plaisir, comme ce fut mon cas. On y
retrouve les ingrédients traditionnels : le mystère, la magie, la tendresse, l'humour et l'émotion. Le tout, habilement dosé par l'auteur. Pas facile pourtant d'écrire pour la jeunesse
! Je m'y suis essayée sans grand succès. Philippe Desterbecq a, quant à lui, su relever le défi avec talent.
L'histoire débute dans la chambre du héros, un jeune garçon de dix ans surnommé Pierrot, qui vient de se voir offrir des
lunettes astronomiques pour son anniversaire. Il est loin de se douter que le cadeau dont il rêvait depuis longtemps va lui faire vivre des aventures extraordinaires. Car, avec sa
longue vue, Pierrot découvre une étoile magique grâce à laquelle il a la possibilité de réaliser sept voeux : Tout à coup, Pierrot découvrit une étoile
dont il n'avait jamais entendu parler. C'était une étoile particulière, à 7 branches et qui brillait d'un curieux éclat. Il l'observa longuement, se demandant de quel astre il pouvait bien
s'agir. Il ne se souvenait pas avoir lu quoi que ce soit à son sujet.
Des pouvoirs dont il n'a d'abord pas conscience, et que Jojo, son meilleur ami, se charge de lui révéler. A
partir de cet instant, tout devient clair dans la tête de l'enfant. C'est bien lui qui a rendu son père muet et qui est responsable de la métamorphose de son instituteur :
Les enfants médusés assistèrent à une étrange transformation de leur maître d'école. En quelques minutes, sa figure n'était plus qu'un énorme bouton. Plus un
centimètre carré de sa peau n'était lisse et nu. Constrastant avec la couleur rouge de son visage, son crâne chauve luisait au soleil. Des cheveux recouvraient ses épaules et son bureau. En
l'espace de quelques minutes, Monsieur Ansiau était devenu Frankenstein !
Avec cette étrange étoile, n'importe quel souhait est donc exaucé. Comment ne pas profiter de
l'aubaine ! Béret bleu, le surveillant de l'école, sera la prochaine victime. Pour avoir osé punir Lulu, le frère de Pierrot, il deviendra aussi poilu qu'un singe ! Quant à Monsieur
Cournebuche, remplaçant de Monsieur Ansiau, il devra affronter une bande de garnements invisibles ! De quoi faire tourner le pauvre homme en bourrique. Après les bêtises, il faudra tout
de même penser à se racheter. Pierrot n'y manquera pas et l'histoire se terminera donc comme il se doit.
J'ai suivi avec bonheur les tribulations de ce jeune héros sympathique et espiègle auquel de nombreux petits diables pourront s'identifier. C'est bien écrit, c'est
drôle et les chapitres s'enchaînent à merveille. Alors, si vous avez gardé votre âme d'enfant ou si vous souhaitez faire plaisir à un petit garçon ou à une petite fille,
n'hésitez pas à commander le livre de Philippe.
Philippe Desterbecq est également l'auteur d'un recueil de nouvelles intitulé "Textes et nouvelles de moi" paru
aux éditions Elzévir. C'est aussi un excellent photographe et un amoureux de la nature comme vous pourrez le constater si vous vous rendez sur ses blogs :
http://philippedester.canalblog.com/
http://philibertphotos.over-blog.com/
http://phildes.canalblog.com/
Published by Nadine Groenecke
12 février 2012
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Il était une fois un merveilleux petit château niché en plein coeur de la Meuse...
C'est peut-être avec cette phrase, introduite par sa formule habi-tuelle, que Charles Perrault aurait débuté un des ses contes si ses pas l'avaient amené jusqu'au très séduisant château de
Thillombois. Oui, l'idée lui serait sûrement venue. Car l'endroit est magique. Il paraît même qu'un cavalier venu du temps passé surgit parfois dans le parc, à la nuit tombée !
Un écrivain meusien s'est inspiré, en 2004, de ce cadre enchanteur, mais dans un genre bien différent de celui de Perrault : le polar. Sur une idée de Pierre
Lombard, Jean-Claude George avait en effet entrepris la rédaction d'un roman policier interactif. Interactif parce qu'il laissait le soin à des auteurs en herbe de le terminer. C'est à
cette occasion que j'ai commencé à écrire et que, pour la circonstance, j'ai parcouru de long en large les pièces principales du château et arpenté les allées du parc de 43 hectares. Car une visite avait été organisée
pour les personnes souhaitant participer à ce concours d'écriture des plus originaux. L'affaire était sérieuse, il fallait mener l'enquête et s'imprégner des lieux pour découvrir le meurtrier
d'Anne-Lou, étudiante en histoire de l'art, retrouvée sans vie au pied d'une cascade, dans le parc. Le maire, notre guide, nous avait alors raconté l'histoire du château.
Sa construction remonte à la fin du Moyen-Age. De taille plus grande que l'actuel château, il fait, à l'époque,
partie des plus importants domaines médiévaux du secteur. Gravement endommagé sous Louis XIII, il subira de nombreux remaniements au XVIIIème et XIXème siècle : ajout d'une
tour ronde, de trois tourelles et d'un avant-corps surmonté d'un lanternon. Dans une ancienne chambre sera également créée une très jolie chapelle. En 1961, le château qui appartenait à la famille Nettancourt-Vaubécourt, devient la propriété de la ville de Mantes-la-Ville dans les Yvelines.
Elle en fait un centre de colonies de vacances. Puis, en 1991, la municipa-lité décide de le louer à "Connais-sance de la Meuse" pour une période de trente ans. Après l'avoir
restauré, cette association culturelle, ambassa-drice de la Meuse et de la Lorraine, y développe de nombreuses anima-tions : spectacles de son et lumière, visites guidées,
conférences, con-certs, pièces de théâtre... S'y dérou-lent également des séminaires et des mariages. Le château de Thillombois appartient désormais à l'association qui l'a racheté
en 2011. Pour en savoir plus : http://www.chateau-thillombois.com/
Published by Nadine Groenecke
1 février 2012
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Avec Sauvetages,
Au fil des pages,
Dans le bonheur je nage !
Published by Nadine Groenecke
26 janvier 2012
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Le pastel que j'ai terminé hier soir à l'atelier :
Published by Nadine Groenecke
23 janvier 2012
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A lire, dans la rubrique
"PRESSE - INTERVIEW"
de ce blog,
l'article paru le 3 janvier 2012
dans le Républicain Lorrain,
Edition du Journal
de Sarrebourg et du Saulnois
Published by Nadine Groenecke
22 janvier 2012
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Si vous avez envie de voir d'autres photos sur Paris,
cliquez sur l'album photos "Paris" de ce blog !
Published by Nadine Groenecke
16 janvier 2012
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Published by Nadine Groenecke
10 janvier 2012
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De 1840 à 1847, Balzac vécut
dans une maison située au coeur de l'ancien village de Passy, dans le 16ème arrondissement. Fuyant ses créan-ciers, il louait là un appartement de cinq
pièces en rez-de-jardin, sous le pseu-donyme de "M. de Breugnol". Le pa-villon est désormais un musée dédié à l'auteur. On peut y découvrir son cabinet de travail, avec la petite table en noyer sur laquelle il écrivit plusieurs de ses plus grands
chefs-d'oeuvre, des souvenirs personnels, des tableaux, des gravures, des sculptures, sa canne aux turquoises, une incroyable série de plaques typographiques illustrant les 2 500 personnages
de la Comédie humaine mais aussi un grand nombre de documents littéraires : éditions originales, manuscrits, livres rares...
Le musée présente, jusqu'au 15 janvier, une
exposition sur les grisettes, ces jeunes femmes coquettes, exerçant la profession de couturière, brodeuse ou lingère et qui devaient leur surnom à la couleur du tissu de peu de valeur dont
elles se couvraient. Elles n'ont eu de cesse d'inspirer les artistes de l'époque.
Published by Nadine Groenecke
3 janvier 2012
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Après Londres, petite escapade de deux jours à Paris en compagnie de mon mari. Il est 8 H du matin et le boulevard Saint
Germain s'éveille tranquillement. Arrêt au mythique Café de Flore. L'établissement est quasi désert à cette heure de la journée. Pas d'auteur connu ou d'artiste en vue. Nous n'avons pas
non plus croisé les fantômes de Jean-Paul Sartre et de Simone de Beauvoir, mais j'ai dégusté un délicieux chocolat à l'ancienne.
Qu'il est agréable de flâner dans la capitale lorsque la foule n'a pas encore envahi ses rues. Nous dirigeons vers
Notre-Dame en longeant la Seine. Pas de file d'attente devant. Nous nous y engouffrons. Marie et Joseph attendent la naissance du Christ.
Un peu plus loin, nous voilà sur le plus petit pont
de la capitale, le Pont de l'Archevêché, où les couples romantiques ont scellé leur amour en y suspendant un cadenas, puis jeté la clé dans la Seine.
Maintenant, direction "Le jardin
des plantes" pour une visite des grandes serres. On peut y découvrir un jardin d'hiver avec des plantes tropicales, une serre regroupant des espèces caractéristiques des zones arides, une serre
néo-calédonienne et une serre qui présente l'histoire des plantes au cours des temps géologiques.Entre deux serres, exposition de chaussures des plus originales : Nous
déjeunerons dans le quartier des Halles, flânerons encore un bon moment, carte en main, avant de rejoindre notre point de chute : la tour Montparnasse.
Published by Nadine Groenecke